Le ministre visite en lycée où des stages de langues sont organisés durant les vacances de février.
S’est-il demandé pourquoi les élèves avaient besoin de ces stages ? Et qui sont ces élèves ?
Voici ses propos, je voudrais remercier le café pédagogique pour ces articles qui sont toujours très intéressants et complets, et donc je me permets de faire l’écho, en apportant quelques fois mon témoignage et mes avis tous personnels.
"Je suis venu constater la montée en puissance des stages de langues», a-t-il dit le Jeudi 24 février. C'est dans les locaux du lycée Jacques Decour de Paris, que Luc Chatel, accompagné de Patrick Gérard, recteur de Paris, assiste à plusieurs groupes de langues, en l'occurrence deux d'anglais et un d'allemand.
Chacun accueille de 4 à 8 lycéens, de seconde ou de première, encadrés par un enseignant. Le stage dure une semaine, chaque matin de 9 à 12 heures. Les jeunes se disent satisfaits. "J'ai amélioré mon vocabulaire" dit l'une. "L'anglais c'est indispensable dans la vie", plaide un autre. Les jeunes débattent, chantent (en anglais) ou fabriquent le journal télévisé du jour (en allemand), mais sans caméra ni montage vidéo.
Luc Chatel vante les mérites de son dispositif. "C'est une volonté de ma part de permettre à tous les élèves de bénéficier de ces stages pour l'apprentissage de la langue parlée", affirme-t-il. Le ministre évoque "des méthodes différentes des cours habituels" et "un vrai progrès". Il y avait 20 000 lycéens inscrits la première année, 30 000 la seconde. Il ne connaît pas encore le nombre d'inscrits de cette année mais à Paris il souligne une progression de 40% avec 850 inscrits.
Article complet dans le café pédagogique